La société concentre ses efforts sur le marché des institutions financières qui se lancent dans les cryptoactifs.
Chaque piratage de bitcoins médiatisé fait les affaires de la société française Ledger. Celui de Binance, la plus grosse plateforme d’échanges de cryptomonnaies au monde début mai, n’a pas fait exception. Spécialiste de la sécurisation de cryptoactifs, le Français a observé un pic de demandes de la part de particuliers pour ses «mini-coffres-forts digitaux», 24 heures après la révélation du vol de 7000 bitcoins.
Surtout, ce nouvel exemple permet à Ledger de défendre auprès des entreprises financières la spécificité de sa technologie, basée sur la combinaison d’une carte à puce et d’un système d’exploitation pour espérer prendre davantage de positions sur un marché des institutions financières qui est en train de décoller. «En un an, le niveau de maturité des institutionnels a vraiment évolué et le marché est vraiment dans une phase d’implémentation des projets» résume Éric Larchevêque, président exécutif du conseil d’administration.
En France, la Société générale a émis en avril sa première
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